Bertrand Duharnais

De Paris by Night
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modifier Les clans
Camarilla :
Les Toréadors - Les Ventrues - Les Brujahs - Les Caïtiffs - Les Malkaviens - Les Nosferatus - Les Tremeres - Les Gangrels
Indépendants :
Les Gargouilles - Les Giovanni - Les Ravnos - Les Salubri - Les Assamites - Les Suivants de Seth
Sabbat :
Les Lasombras - Les Tzimisce
Bertrand Duharnais
Sire Marie Mezaud
Clan Toréador
Génération 10
Statut 1
Secrets D
Surnom aucun
Faiblesse N/A
Secte Camarilla
Nature Survivant
Attitude Perfectionniste
Année d'étreinte 1984
Année de naissance 1964
Âge apparent La vingtaine

Vertus

Conscience 3
Maîtrise de soi 3
Courage 4
Humanité 6
Volonté 4
Disciplines

Discipline de clan Célérité 2
Discipline de clan Présence 1
Discipline de clan Augure 2


Vie mortelle

Issu d’une famille d'employés modestes, Bertrand Duharnais s'ennuyait ferme dans le petit appartement familial de banlieue. Des heures perdues dans les transports, à regarder le paysage défiler, à user son pantalon sur les bancs de l'école. Jusqu'à ce qu'un jour lui vienne l'illumination, alors il imaginait un félidé parcourir le même trajet que lui, mais à sa manière. Après tout, les skaters qui roulaient quotidiennement au pied de son immeuble accomplissaient bien des prouesses…pourquoi pas lui ?

Il passa donc plusieurs années à s'entrainer pour modeler et muscler son corps afin de s'affranchir au maximum de ses limitations. Les études n'étant pas sa tassé de thé, et les relations parentales ne s'étant pas améliorées il finit par quitter le cocon familial en claquant la porte. Il lui était devenu insupportable de continuer à voir ses larves de parents s'escrimer pour un salaire de misère plutôt que de prendre leurs destinées en main.

Ayant rapidement épuisé ses maigres économies, il se retrouva bien vite à la rue, et usa de ses capacités physiques pour ramener quelques menue monnaie. Manutentionnaire, déménageur, il prenait toutes les opportunités, ne cessant de s'entraîner pour garder la forme. La vie dans la rue n'était pas simple, les bagarres pour un morceau de trottoir pas si rares. Lassé des boulots merdiques et mal payés, il paria sur ses prouesses physiques. Il semblait capable de défier la gravité et de plier son corps dans des positions anatomiquement impossibles.

Cela lui permit de subvenir à ses besoins pendant un temps, de menus larcins en petits cambriolages, et aussi de se faire remarquer par une femme, d'une quarantaine d'années. Non dénuée de charme malgré sa tendance à l'embonpoint, sans doute à cause − ou grâce à − ses formes généreuses, elle était là, à l'observer, de plus en plus souvent, de plus en plus longtemps, comme hypnotisée par ses démonstrations. Elle se montrait généreuse à chaque fois, et disparaissait sans laisser de traces dès qu'il avait le dos tourné. Puis vint une nuit où une douce musique, parfaitement calée sur sa chorégraphie s'éleva d'un violon tenue par cette inconnue. Elle disparut à nouveau. Cela dura plusieurs semaines…sa mystérieuse bienfaitrice venait, souvent, l'accompagner avant de s'envoler, encore et toujours, insaisissable.

La soudaine absence, prolongée, de sa bienfaitrice inquiéta le jeune homme. Ses largesses lui avaient permis de louer une chambre dans un hôtel, et les réserves fondaient de jour en jour. Complètement obnubilé par cette femme qui jamais n'avait ouvert la bouche pour lui parler, par cette musique parfaitement exécutée résonnant encore dans son crâne, lui tirant des frissons lors de ses exhibitions, Bertrand continua sans relache ses démonstrations, au même endroit, allant même, un soir de désespoir, sa dernière nuit d'hotel payée avant le retour à la rue, jusqu'à graver dans la brique un message à son intention la suppliant de se montrer.

Ce qu'elle fît le soir-même. Il venait de rentrer à l'hôtel, qu'elle l'attendait, assise dans une alcove du bar de l'hotel. Il avait comme senti sa présence. Elle planta ses yeux dans les siens avec un sourire, qui le conquit. Un poids s'était enlevé de ses épaules, le libérant de toute la tension accumulée ces dernières semaines. Après une longue discussion, ils quittèrent l'hotel et s'engouffrèrent dans un véhicule qui l'emmena dans le 6ième, palais du Luxembourg. Il travailla loyalement pendant plusieurs années au service de Marie Mezaud, lui servant tour à tour de chauffeur, de garde du corps ou encore de monte en l'air allégeant certaines collections privées.

Étreinte

C'est le vol du Marché aux Poissons de Pissarro, au musée Faure en novembre 1981 qui lui vaudra d'être étreint par Marie Mezaud.

Non Vie

Caractéristiques

  • Clan : Toréador
  • Sire : Marie Mezaud
  • Nature : Survivant
  • Attitude : Perfectionniste
  • Génération : 10e
  • Etreinte : 1984 (né en 1964)
  • Age Apparent : la vingtaine

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Notes

Image

Conseil d’interprétation

Havre

Secrets

D

Influences

Intérêts actuels