« Jean-Guillaume Delamare » : différence entre les versions
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==Vie mortelle== | ==Vie mortelle== | ||
Spécialiste de la gestion de joueurs, s'est enrichit de cette manière. | |||
Investit en 1977 dans un cabinet d'avocats pour racheter en partie le carmin. | |||
Agit en 1983 avec d'autres goules, cf no-face, s'en sort in-extremis, y gagne clan ennemi nosferatu. | |||
Né le 13 Juillet 1954 à Saint-Maur-des-fossés, Jean-Guillaume est le troisième fils d'une fratrie comportant six enfants (Edouard 1950, Charles-Henri 1951, Elisabeth 1955, Philippe 1958, Hubert 1959). Le contexte familiale est aisé, son père Marc-Antoine (1925) est un proche de Francis Bouygues qu'il a connu à Centrale et qu'il a rejoint pour participer au fort développement de sa société de BTP. Dans les années 50les subsides de l'état pour reconstruire le pays vont permettre l'explosion de la société et Marc-Antoine va se constituer un important patrimoine immobilier dans la région parisienne. La mère de Jean-Guillaume, Antoinette Bagueneau de Viéville (1929), fille du général Jean Bagueneau de Viéville est une normande fervente catholique très impliqué dans les œuvres de charités et la vie de la paroisse. | |||
Très jeune Jean-Guillaume développe un grand intérêt pour la Rome antique. Le fait qu'il soit né le même jour que Jules César n'y est sans doute pas étranger. Baptisé, communiant, confirmé, boy scout, Lions club…Jean-Guillaume baigne toute sa jeunesse dans l'univers policé et ultra privilégié de l'aristocratie et de la haute bourgeoisie française. Il en apprend les codes et grâce à son aisance naturelle en société, y brille régulièrement. Pourtant dès le lycée il se démarque du reste de la famille, en préférant des études littéraire de lettre classique, au cursus scientifique et de droit que son père souhaite lui imposer. Mais on impose rien a Jean-Guillaume, depuis qu'il est tout petit sa famille a eut maintes fois l'occasion de s'en apercevoir. De plus pendant toute son adolescence J-G prendra un malin plaisir a contrarier ses géniteurs, juste pour le plaisir : il s'intéresse au football (sport du bas peuple par excellence), lit des livres science fictions, est fan de Jazz et des démoniaques Led Zeppellin et va même jusqu'à amener des petits camarades maghrébin à la maison ! | |||
En 1974, à 20 ans, parallèlement à sa licence de lettre classique, J-G se ménage en cachette une porte de sortie pour l'avenir : grâce à son entre-gens il suit des cours de droit de l'entreprise à la Sorbonne. Élève plutôt doué il décroche sans problème à 23 ans sa maître de latin avec un mémoire sur la guerre des Gaules, en même temps qu'il termine sa licence de droit. | |||
Son intérêt pour le football qui n'était à l'origine qu'un moyen de faire honte à son père est resté, et plus le temps passe plus J-G voit dans ce sport un énorme potentiel de développement. Bénéficiant d'un important réseau de connaissance il s'introduit facilement dans ce milieu et grâce à ses connaissances en finance et son bagou il fait son trou à l'AS Saint-Etienne dans le milieu des années 70. Au sein d'un club alors au sommet du football européen, le jeune J-G fait ses armes, profitant du peu de contrôle de l'époque il met en place des outils financier permettant d'optimiser le rendement du club. Tout d'abord loin dans l'ombre, il profite du relatif déclin de l'année 77 pour présenter aux dirigeants un plan ambitieux : caisse noire, chantage, match arrangé et « hotesses » portent leurs fruits et voient le club remonter au sommet. | |||
C'est à cette période qu'il entre en contact avec Monsieur [[Aristide Longand]] lors de ses nombreux séjour à Paris. C'est grace à lui qu'il profite d'une formidable opportunité pour prendre des parts dans le Carmin, bar en vogue de la capitale (tenu par [[Nicolas Biarnais]]), via une prise de contrôle du cabinet d'avocat Marvolo & Gaunt. Car J-G est ambitieux et c'est à Paris, dans sa ville, LA ville, qu'il rêve de briller. Longand devient un véritable ami avec lequel J-G découvre le « noble art ». | |||
En 81 il a de bon contact avec les dirigeants du PSG, et malencontreusement en 82 une partie des ses montages financiers à St-Etienne sont dévoilés par la presse…Le scandale de « la caisse noire » l'oblige à abandonner Saint-Etienne. C'est de nouveau dans l'ombre mais cette fois à Paris qu'il va trouver à exercer ses talents. Là J-G élargi sa palette d'outils, afin d'attirer tout les projecteurs sur le club : transfert de joueurs connu, supporter ultra, strass et paillettes. Mais malgré ses efforts il comprend rapidement qu'il y a, dans une ombre bien plus profonde que celle où il se cache, d'autre personne qui tirent des ficelles qu'il n'arrive même pas à discerner… | |||
Pour J-G tout ces montages, ces négociations et manipulations ne sont qu'un jeu. Un jeu qui lui permet de bien vivre et de continuer à narguer son père, mais ça vraie passion demeure l'étude des textes anciens. Le latin l'a amené a étudier la Gaule et tout ses loisirs sont consacrés à suivre les recherches faites en France sur la vieille histoire de son beau pays. | |||
J-G a une conscience aiguë du rôle que doit jouer sa patrie comme phare du monde civilisé, c'est un Gaulliste convaincu de l'importance de l'homme providentiel capable de tirer toute la patrie vers les sommets. | |||
==Étreinte== | ==Étreinte== | ||
Est étreint après une mort violente où Alfred le Bègue lui envoie une austin mini en pleine « face » pour se venger de la mort de no-face. | |||
==Non Vie== | ==Non Vie== | ||
==Caractéristiques== | ==Caractéristiques== |
Dernière version du 24 avril 2014 à 13:02
modifier Les clans | |
Camarilla : Les Toréadors - Les Ventrues - Les Brujahs - Les Caïtiffs - Les Malkaviens - Les Nosferatus - Les Tremeres - Les Gangrels | |
Indépendants : Les Gargouilles - Les Giovanni - Les Ravnos - Les Salubri - Les Assamites - Les Suivants de Seth | |
Sabbat : Les Lasombras - Les Tzimisce |
Jean-Guillaume Delamare | ||
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Sire | Aristide Longand | |
---|---|---|
Clan | Ventrue | |
Génération | 9 | |
Statut | 1 | |
Secrets | D | |
Surnom | aucun | |
Faiblesse | N/A | |
Secte | Camarilla | |
Nature | Architecte | |
Attitude | Compétiteur | |
Année d'étreinte | 1984 | |
Année de naissance | 1964 | |
Âge apparent | La vingtaine | |
Vertus | ||
Conscience | 3 | |
Maîtrise de soi | 3 | |
Courage | 4 | |
Humanité | 6 | |
Volonté | 5 | |
Disciplines | ||
Discipline de clan | Domination 2 | |
Discipline de clan | Fortitude 0 | |
Discipline de clan | Présence 2 |
Vie mortelle
Spécialiste de la gestion de joueurs, s'est enrichit de cette manière. Investit en 1977 dans un cabinet d'avocats pour racheter en partie le carmin. Agit en 1983 avec d'autres goules, cf no-face, s'en sort in-extremis, y gagne clan ennemi nosferatu.
Né le 13 Juillet 1954 à Saint-Maur-des-fossés, Jean-Guillaume est le troisième fils d'une fratrie comportant six enfants (Edouard 1950, Charles-Henri 1951, Elisabeth 1955, Philippe 1958, Hubert 1959). Le contexte familiale est aisé, son père Marc-Antoine (1925) est un proche de Francis Bouygues qu'il a connu à Centrale et qu'il a rejoint pour participer au fort développement de sa société de BTP. Dans les années 50les subsides de l'état pour reconstruire le pays vont permettre l'explosion de la société et Marc-Antoine va se constituer un important patrimoine immobilier dans la région parisienne. La mère de Jean-Guillaume, Antoinette Bagueneau de Viéville (1929), fille du général Jean Bagueneau de Viéville est une normande fervente catholique très impliqué dans les œuvres de charités et la vie de la paroisse.
Très jeune Jean-Guillaume développe un grand intérêt pour la Rome antique. Le fait qu'il soit né le même jour que Jules César n'y est sans doute pas étranger. Baptisé, communiant, confirmé, boy scout, Lions club…Jean-Guillaume baigne toute sa jeunesse dans l'univers policé et ultra privilégié de l'aristocratie et de la haute bourgeoisie française. Il en apprend les codes et grâce à son aisance naturelle en société, y brille régulièrement. Pourtant dès le lycée il se démarque du reste de la famille, en préférant des études littéraire de lettre classique, au cursus scientifique et de droit que son père souhaite lui imposer. Mais on impose rien a Jean-Guillaume, depuis qu'il est tout petit sa famille a eut maintes fois l'occasion de s'en apercevoir. De plus pendant toute son adolescence J-G prendra un malin plaisir a contrarier ses géniteurs, juste pour le plaisir : il s'intéresse au football (sport du bas peuple par excellence), lit des livres science fictions, est fan de Jazz et des démoniaques Led Zeppellin et va même jusqu'à amener des petits camarades maghrébin à la maison !
En 1974, à 20 ans, parallèlement à sa licence de lettre classique, J-G se ménage en cachette une porte de sortie pour l'avenir : grâce à son entre-gens il suit des cours de droit de l'entreprise à la Sorbonne. Élève plutôt doué il décroche sans problème à 23 ans sa maître de latin avec un mémoire sur la guerre des Gaules, en même temps qu'il termine sa licence de droit.
Son intérêt pour le football qui n'était à l'origine qu'un moyen de faire honte à son père est resté, et plus le temps passe plus J-G voit dans ce sport un énorme potentiel de développement. Bénéficiant d'un important réseau de connaissance il s'introduit facilement dans ce milieu et grâce à ses connaissances en finance et son bagou il fait son trou à l'AS Saint-Etienne dans le milieu des années 70. Au sein d'un club alors au sommet du football européen, le jeune J-G fait ses armes, profitant du peu de contrôle de l'époque il met en place des outils financier permettant d'optimiser le rendement du club. Tout d'abord loin dans l'ombre, il profite du relatif déclin de l'année 77 pour présenter aux dirigeants un plan ambitieux : caisse noire, chantage, match arrangé et « hotesses » portent leurs fruits et voient le club remonter au sommet.
C'est à cette période qu'il entre en contact avec Monsieur Aristide Longand lors de ses nombreux séjour à Paris. C'est grace à lui qu'il profite d'une formidable opportunité pour prendre des parts dans le Carmin, bar en vogue de la capitale (tenu par Nicolas Biarnais), via une prise de contrôle du cabinet d'avocat Marvolo & Gaunt. Car J-G est ambitieux et c'est à Paris, dans sa ville, LA ville, qu'il rêve de briller. Longand devient un véritable ami avec lequel J-G découvre le « noble art ».
En 81 il a de bon contact avec les dirigeants du PSG, et malencontreusement en 82 une partie des ses montages financiers à St-Etienne sont dévoilés par la presse…Le scandale de « la caisse noire » l'oblige à abandonner Saint-Etienne. C'est de nouveau dans l'ombre mais cette fois à Paris qu'il va trouver à exercer ses talents. Là J-G élargi sa palette d'outils, afin d'attirer tout les projecteurs sur le club : transfert de joueurs connu, supporter ultra, strass et paillettes. Mais malgré ses efforts il comprend rapidement qu'il y a, dans une ombre bien plus profonde que celle où il se cache, d'autre personne qui tirent des ficelles qu'il n'arrive même pas à discerner…
Pour J-G tout ces montages, ces négociations et manipulations ne sont qu'un jeu. Un jeu qui lui permet de bien vivre et de continuer à narguer son père, mais ça vraie passion demeure l'étude des textes anciens. Le latin l'a amené a étudier la Gaule et tout ses loisirs sont consacrés à suivre les recherches faites en France sur la vieille histoire de son beau pays.
J-G a une conscience aiguë du rôle que doit jouer sa patrie comme phare du monde civilisé, c'est un Gaulliste convaincu de l'importance de l'homme providentiel capable de tirer toute la patrie vers les sommets.
Étreinte
Est étreint après une mort violente où Alfred le Bègue lui envoie une austin mini en pleine « face » pour se venger de la mort de no-face.
Non Vie
Caractéristiques
Notes
Ne se nourrit que sur des supporters de foot.