Auguste d'Arcy

Les clans

Camarilla : Les Toréadors - Les Ventrues - Les Brujahs - Les Caïtiffs - Les Malkaviens - Les Nosferatus - Les Tremeres - Les Gangrels

Indépendants : Les Gargouilles - Les Giovanni - Les Ravnos - Les Salubri - Les Assamites - Les Suivants de Seth

Sabbat : Les Lasombras - Les Tzimisce

Auguste d'Arcy
Sire	Dominique de Chelles
Clan	Ventrue
Génération	9
Statut	1
Secrets	?
Surnom	aucun
Faiblesse	N/A
Secte	Camarilla
Nature	Brute
Attitude	Conformiste
Année d'étreinte	1925
Année de naissance	1890
Âge apparent	La trentaine
Vertus
Conscience	2
Maîtrise de soi	3
Courage	5
Humanité	5
Volonté	5
Disciplines
Discipline de clan	Domination 2
Discipline de clan	Fortitude 2
Discipline de clan	Présence 0

Vie mortelle

Né le 10 Janvier 1890, À Rouen, dans une famille catholique de riches industriels du textile. Enfance dorée, Les études l'intéressent peu. Louis de Joucour est néanmoins un garçon intelligent, cruel et manipulateur. Très patriote, pour ne pas dire nationaliste, il va au front en 1914 et en revient auréolé de ses exploits de guerre. Il reprend les affaires de son père, profite de son aura et de ses contacts pour s'enrichir davantage encore avec le nettoyage des sols et le recyclage des métaux (obus, mines etc). Tout lui réussi, mais il reste seul. Il profite de sa richesse pour « acheter » à des parents sans le sou leur jeune et jolie fille, qui plus est cultivée. Leur idylle est de courte durée, elle s'avère une piètre épouse selon les critères de Louis, qui veut une femme obéissante et une amante dévouée. Les années passant, Louis boit de plus en plus lors des diners d'affaire, bat et viole régulièrement sa femme. La nuit du 2 au 3 avril 1925, lassée de ce traitement, elle lui tire une balle dans la tête à bout portant lors d'une n-ième dispute.

Étreinte

Louis ne le savait pas, mais Dominique de Chelles, celui qui deviendrait son Sire, le surveillait depuis un certain temps. Attiré par sa fortune, mais aussi par son caractère à la fois dominant et aguicheur. « L'incident domestique » arrivant un peu plus rapidement que Dominique l'avait prévu. Aussi étreint-il Louis en catastrophe. Lorsque Louis se réveille, borgne, il fait partie du monde de la nuit. Très rapidement, son Sire et lui quittent Rouen pour (non) vivre à Paris. Son Sire, Dominique de Chelles, l'éduque pendant des années selon les Traditions de la Camarilla et le principe que l'on dirige mieux en ayant l'air de ne pas le faire, donc en manipulant autrui pour arriver à ses fins. Louis se rebaptise Auguste d'Arcy, et se fait appeller Monsieur d'Arcy, réservant la connaissance et l'usage de son prénom à de très rares personnes et dans un cadre strictement privé. Son patriotisme et son nationalisme sont transposés au Sang des Roys, et à la Très Sainte Camarilla (dans cet ordre) de manière quasiment fanatique. Il est prêt à tout pour son Sang, et pour la Très Sainte Camarilla. Il en respecte pourtant scrupuleusement ses règles. Par exemple, il ne diablera pas car c'est un crime impardonnable (en plus de souiller la pureté de son Sang avec celui d'un clan inférieur). Il ne détruira pas car cela va à l'encontre des Traditions. Par contre pieuter un gêneur, le couler dans le béton et le balancer en pleine mer n'est pas inenvisageable…

Notes

Porte en permanence des lunettes de soleil pour cacher son handicap. Par sécurité (c'est un « détail » qu'il n'aime pas faire savoir à ses potentiels ennemis), mais officiellement pour ne pas déranger les plus sensibles en affichant une « blessure de guerre » peu agréable à regarder. En effet, sous l'effet de la chaleur et de l'impact, ses paupières sont en lambeaux, les cils pour ceux qui restent sont raccornis, la peau a prit l'apparence d'une espèce de cire fondue arborant de petites cloques. Autant dire que l'effet de cette peau pendouillant misérablement et s'agitant au moindre mouvement est des plus ragoutant. L'orbite vide n'arrange rien, même s'il met un œil de verre quand il sait qu'il sera amené à retirer ses lunettes. Se comporte tel un parfait gentleman en société, arbore toujours des costumes chics et sur mesure. Attiré par les femmes (et restant malgré tout frustré par sa vie sexuelle minable, il se montre très avenant et charmeur. Il chasse dans des établissements chics, galas de charité et autres soirées mondaines, affectionnant la (jeune) bourgeoise distinguée déshinibée au champagne. Au lit, il les utilise à sa guise tels des objets dédiés à son seul plaisir, se montrant dominateur. L'extase du Baiser se mêlant aux simples et basiques plaisirs de la chair, il leur laisse néanmoins le souvenir d'une folle nuit terriblement dévergondée. Pour éviter autant que possible une disette qui l'obligerait à se nourrir sur un homme, il entretient trois jeunes femmes toujours prêtes à s'offrir à lui pour un délicieux orgasme.

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