Christophe Lassus
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Christophe Lassus | ||
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Sire | Albert Carton | |
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Clan | Malkavian | |
Génération | 11 | |
Statut | ||
Secrets | ||
Surnom | ||
Faiblesse | N/A | |
Secte | Camarilla | |
Nature | ||
Attitude | ||
Année d'étreinte | 1944 | |
Année de naissance | ||
Âge apparent | ||
Vertus | ||
Conscience | ||
Maîtrise de soi | ||
Courage | ||
Humanité | ||
Volonté | ||
Disciplines | ||
Discipline de clan | Aliénation | |
Discipline de clan | Augure | |
Discipline de clan | Dissimulation |
Vie mortelle
Lille, le 16 juin 1944
Je me nomme Christophe Lassus. Si vous trouvez cette lettre, c’est que je ne suis certainement plus de ce monde; avec de la chance j’ai pu retrouver ma bien-aimée, celle pour qui j’ai tout donné…Je ne cherche pas ici à raconter ma vie, même si les prochaines lignes pourraient le laisser croire, je cherche simplement à expliquer mes choix que certains ne pourront jamais pardonner.
Si vous avez trouvé cette lettre, c’est que vous cherchez à en savoir plus sur l’autre monde. Ne le faites pas, ne suivez pas cette voie, le prix à payer est au-delà de ce que vous pourriez imaginer.
Je suis né le 17 mai 1905 ici-même, à Lille, d'un père médecin et d'une mère institutrice. Je n’ai jamais eu à me plaindre de mon enfance, elle fut commune à beaucoup d'autres; j’ai même eu la chance de vivre à l’abri des soucis et du besoin. J'ai effectué plusieurs grandes écoles, pour suivre le chemin de mon père, afin de devenir ce que je suis actuellement, médecin-légiste…la curiosité sur l’homme et la mortalité est, je suppose, un point que vous et moi avons en commun. C’est là que j’ai rencontré ma tendre Sophie, femme qui partagera ma vie pendant de douces années.
Nous nous sommes mariés le 28 juin 1932. C’était certainement le plus beau jour de notre vie et le début de quelque chose de merveilleux. Certes nous avions nos déboires comme tout à chacun, mais la vie était simple et jamais je ne regretterai cette rencontre, même si mon âme est désormais flétrie…
Ce n’est que quelques années plus tard qu’elle est tombée gravement malade. Personne ne savait quel mal l’affligeait. Tout ces médecins, ces soit-disant spécialistes, collègues renommés ou vulgaires inconnus, aucun ne pouvait donner un diagnostic fiable. Tandis que je la voyais dépérir, faible, ne pouvant marcher et à peine parler…délirant parfois. C’était insoutenable.
Je me mis en quête d’étudier moi-même ce fléau qui s’abattait sur nous, lui ayant fait la promesse sur ma vie de la guérir. Oh je la vois encore sourire, caressant mon visage, me disant qu’elle avait foi en moi…Ce visage à la fois triste et confiant, cherchant à me rassurer, il est gravé dans ma mémoire, me volant encore une fois quelques larmes…
J’ai parcouru des pays entiers, étudié de nombreux ouvrages. J’ai cherché, fouillé, allant à la limite de mes capacités physiques, mais à chaque fois cela se soldait par un échec. Des rumeurs d’antidotes pour tous les maux, intraveineuse, gélule, liquide et solide, plantes en tout genre: toutes mes expériences ne menaient à rien. Je pris alors la décision de voir au-delà du légal et au-delà de la science elle-même, mettant mes principes et mes croyances à la poubelle afin d’explorer de nouvelles voies, allant jusqu’à écouter des rumeurs sur des événements surnaturels. Mais à chaque fois que je pensais atteindre un but, celui-ci s’échappait comme si le monde entier cherchait à ce que je ne sache rien. À moins que ça ne soit mon esprit qui me joue des tours…
Sophie est morte en mon absence. Cela je le regretterai toute ma vie, et même au-delà. Mais je ne suis pas triste car je sais qu’elle est là, elle est partout. Peut-être que comme à moi, elle vous parlera, vous racontera mille et une choses sur ce que nous avons vécu…
Mes investigations n’ont finalement pas été si infructueuses. J’ai rendez-vous ce soir avec un certain Albert Carton. Je sais désormais qui il est, du moins je le pense, et il m’aidera à les rejoindre…à la rejoindre. Mais ne me suivez pas, ne me cherchez pas. Cette lettre doit mettre fin à votre curiosité car ce que vous pourriez découvrir ne sera que souffrance et mort.
Je m’en vais désormais la retrouver, ma tendre Sophie…
Adieu.
C.L.
Étreinte
Étreint en 1944 par Albert Carton.
Non Vie
Caractéristiques
Notes
Est lourdement endetté auprès des du Terdy, qui se sont arrangés pour lui mettre sous les crocs un humain passé par le restaurant de Louis Frémont. Christophe ayant commis un massacre, ne réussissant pas à retenir sa bête, ils se chargèrent de lui éviter des problèmes avec les autorités…contre bien sûr une jolie prestation.